3 positions (oubliées) du kamasutra pour réinventer son plaisir
Ok, I like it, Picasso
Vous avez envie d’un grand ménage de printemps sensuel ? D’un vent de fraîcheur sur votre plaisir ? De voir fleurir des orgasmes toupar ? Qu’on arrête avec cette métaphore filée sur la nouvelle saison (des amours) qui approche ? Got it : aujourd’hui on répond à tous vos désirs, avec 3 positions sexy pour tout le monde si vous avez envie d’un virage dans votre routine du kiff. Ah et plus de métaphore filée, c’est juré.
Le happy ending
On commence en douceur avec une position sans pénétration (si ça vous intéresse d’ailleurs, vous pouvez jeter un coup d’œil à nos 5 idées de positions sans pénétration juste ici). Le happy ending commence par un massage, comme son nom l’indique : une personne s’allonge sur le ventre, l’autre s’assoit à califourchon sur ses fesses pour lui masser le dos. Pendant le massage, la personne au dessus peut pratiquer ce qu’on appelle le humping, c'est-à-dire le fait de frotter son sexe dans un mouvement de va-et-vient, ici contre les pêches de son ou sa partenaire. Parfait pour faire monter l’excitation en douceur.
Petite précision : on n’oublie pas le consentement ! Si on propose un massage, on s’en tient au massage ; si on propose du sexe, on en discute avant pour savoir si la personne est ok avec la pratique envisagée.
Le missionnaire péchu
Quand on parle positions originales, on exclut souvent le missionnaire d’emblée (miskine), ce qui en fait bel et bien une position oubliée. C’est justement ce qui nous a donné envie de rétablir sa notoriété. Le missionnaire c’est comme une tablette de chocolat : ultra sucré et réconfortant, et surtout déclinable en plein de versions. Saveur du jour : le missionnaire péchu, aka le missionnaire où la personne qui pénètre (donc la personne au dessus) attrape les fesses de la personne pénétrée pour mieux relever son bassin et le plaquer contre le sien.
En plus de rendre la pénétration plus profonde et, pour les personnes à vulve, de créer un frottement du clitoris, cette position oblige les partenaires à être ultra collé·es-serré·es. Fusion ou rien.
La guitare
Elle porte sûrement un autre nom dans le grand livre du plaisir charnel, mais comme on a un peu twisté l’originale, on s’est dit que “la guitare” sonnait mieux. Welcome to le niveau 3. Schéma à l’appui, voici le programme : la personne équipée d’un pénis ou d’un objet pénétrant type god ceinture s’allonge sur le dos et pénètre son ou sa partenaire qui s’allonge sur elle de façon perpendiculaire, et sur le dos également. La personne en dessous (le/la musicien·ne) opère des mouvements de va-et-vient tout en masturbant la personne au-dessus (la guitare).
La personne qui pénètre peut aussi mettre sur le flanc si c’est plus facile pour bouger. Technique, mais pas beaucoup plus qu’une cuillère agrémentée de masturbation si vous connaissez déjà. Cette position permet une pénétration profonde et un accès facilité aux parties génitales de la personne qui reçoit, et surtout de se mater droit dans la pupille au moment le plus intense. Miam.
