Ce qu'on a appris de Taylor Bright aka sustainablecherub

 

1/ On achète 17x plus de vêtements qu’il y a 15 ans

Pour coller aux tendances, mais aussi parce que la fast fashion produit des vêtements de très mauvaise qualité qui ne tiennent pas dans le temps. Optez plutôt pour l’achat d’intemporels de bonne qualité, et que vous pourrez aussi réparer ;).

 

2/ Il existe des coques de smartphones biodégradables

Le plastique est tellement partout qu’il en devient invisible, sauf que son impact sur la planète, non. Pour rappel, plastique = épuisement des énergies fossiles, dégradation de l’environnement pour les puiser, matière non dégradable, ou qui se transformera en microparticules de plastique pour polluer encore plus sournoisement. Et si on réduisait son utilisation en switchant de coque pour une biodégradable (quand la vôtre sera trop abîmée ou plus adaptée à votre tél) ?

 

3/ Pas besoin d’être riche pour devenir écolo

Adopter un mode de vie respectueux de l’environnement est en fait beauuuucoup plus économique que l’inverse. Etre écolo veut entre autre dire acheter de meilleure qualité mais moins, faire soi-même ses cosmétiques, sa food ou ses produits d’entretien (moins cher et meilleur pour notre santé), ne pas gaspiller (aka ne plus jeter son argent par la fenêtre), et investir dans des objets réutilisables (au hasard, le rasoir de sûreté plutôt que des jetables en plastique, ou une culotte menstruelle pour 10 piges plutôt qu’une boîte de tampons tous les deux mois).

Ce qu'on a appris avec Shelbi aka shelbizleee

 

1/ L'aluminium est la matière la plus facile à recycler

Essayez donc au max d’acheter votre food et vos cosmétiques dans des contenants en alu, comme des crèmes hydratantes ou des baumes à lèvres (surtout que vous pouvez aussi les réutiliser comme contenant pour votre produits faits-maison).

 

2/ Mais le recyclage n’est pas une solution durable

Trop peu de déchets entrent dans la chaîne de recyclage, c’est un premier pas mais pas du tout une solution durable. Le recyclage est un business. Si un objet n’est pas assez rentable, il ne sera pas recyclé. Ce qui donne ce chiffre : seulement 9% du plastique mondial jamais créé est recyclé. Le conseil de Shelbi : essayez au max de diminuer votre conso de plastique et de réutiliser ce que vous avez déjà.

 

3/ *Nobody’s perfect*, ce qui compte c’est de faire des efforts**

Même une personne extrêmement engagée (et diplômée en science environnementale comme Shelbi) galère avec ses déchets plastiques, l’aménagement éco friendly de sa maison, la connaissance exacte de l’origine des produits qu’elle achète… Les lobbies rendent impossible la perfection éco responsable. Ce qui compte, c’est d’en faire un maximum en fonction des limites de son contexte.

Ce qu'on a appris sur le compte de Kristen aka strollingthroughlife_

 

1/ Ne portez pas toute la culpabilité sur vos épaules

100 entreprises seulement sont responsables de 70% des émissions de gaz à effet de serre. C’est utile de changer son mode de vie en tant que consommateur·rice parce que ça force les entreprises à changer leurs produits et modes de production, mais les dégâts sont avant-tout créés par le système capitaliste, pas par chaque personne individuellement. Tenez les entreprises et les gouvernements responsables avant de vous tenir responsables.

 

2/ Il faut se méfier du “BPA free” sur les produits plastiques

Le BPA aka Bisphénol A, est un perturbateur endocrinien présent dans certains contenants en plastique et qui en contamine leur contenu. Sauf que… Ce fameux BPA a des cousins, notamment le BPS, qui a sensiblement les mêmes effets néfastes sur notre santé. Quand un flacon est estampillé “sans BPA”, ça ne veut donc pas dire qu’il est sans BPS, ce qui est quasiment la même chose. Les entreprises le savent et se servent de ce manque de réglementation. Solution ? Ne plus acheter de plastique ;).

 

3/ À chaque machine, nos habits synthétiques polluent l’eau avec des microfibres

Mais il existe des sacs à linge qui capturent ces microfibres pour éviter qu’elles ne contaminent le circuit d’eau (et rejoignent les océans), comme on peut le voir dans cette vidéo.

Ce qu'on a appris avec Jessica Clifton aka impactforgood_

 

1/ Il existe du gel eco friendly pour blanchir les dents

Ok, c’est peut-être anecdotique, mais ça a un peu révolutionné notre journée (d’autant plus que cette marque vend aussi des pastilles de dentifrices solides dans des flacons en verre et du fil dentaire en bambou <3).

 

2/ Comment prendre soin de ses culottes menstruelles

Ça peut paraître bête, mais savoir prendre soin de ses affaires est un premier pas important vers la sustainability. Plus on en prend soin, plus leur vie sera longue, et moins on aura besoin de racheter. Par ici donc pour le mode d’emploi spé culottes de règles.

 

3/ Vous pouvez conserver vos déchets végétaux pour en faire des bouillons

Épluchures d’oignons, feuilles de céleri, épluchures de carottes… On envoie tout dans une barquette au congélateur et on s’en sert quand on veut donner du goût à un bouillon d’Asie, une cuisson de pâtes ou de riz, ou pour cuire des légumes sans huile et avec plus de goût qu’une simple cuisson à l’eau #zerowaste.

Ce qu'on a appris de Christine Lan aka eco.amical

 

1/ La nature peut être notre source de confort

Quand on pense écologie, on pense souvent à tout ce qu’on doit arrêter, supprimer, changer pour adopter un comportement écoresponsable. Sauf que s’impliquer dans l’écologie, ça signifie aussi vivre en accord avec ses valeurs et donc se sentir plus à l’aise dans son quotidien, reprendre le pouvoir sur sa vie, sa consommation et sa façon d’évoluer au sein de la société, se détacher des pressions consuméristes, être apaisée par la réduction de son empreinte sur la planète, et vivre aussi en meilleure santé physique ;).

 

2/ Même en seconde-main, essayez d’acheter des matières éco responsables

La seconde-main, c’est évidemment mieux que d’acheter directement à une enseigne de fast-fashion. Mais comme on l’a vu, les matières synthétiques polluent l’eau à vitesse grand V. Quand vous achetez de la seconde-main, choisissez donc au max des matières qui ne contaminent pas l’environnement, comme du coton cultivé de manière responsable, du lin (très souvent made in France), ou du bambou par exemple.

 

3/ Les sacs en plastique compostables ne le sont pas vraiment

Encore une arnaque des lobbies, et oui… Les sacs qu’on nous vend au rayon fruits et légumes en supermarché comme soit-disant matérialisés à base de fécule de maïs ou de plastique biodégradable, une activiste les a testés. 3 ans en milieu marin, et ils pouvaient encore contenir une belle quantité de déchets sans menacer une seule seconde de se déliter. 3 ans. Ça laisse pas mal de temps aux tortues pour les confondre avec leur principale source de nourriture, aka les méduses, et s’étouffer. Meilleur plan : investir dans des pochons réutilisables pour faire le plein de greenies ;).