Le plus classique : Carrie au bal du diable, de Brian De Palma (1976)

Adapté d’un roman de Stephen King, le film se concentre sur Carrie White, une adolescente qui mène une existence douloureuse. Quand elle ne se fait pas harceler au lycée par ses camarades, elle est étouffée par une mère paranoïaque et fan du Christ. Découvrant sa féminité et ses pouvoirs surnaturels, elle se venge des personnes qui lui ont fait du mal. Et on n’aimerait pas être à leur place…

 

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Le plus indie : The Love Witch, de Anna Biller (2016)

Elaine Parks, sorcière des temps modernes, est à la recherche de l’amour. Usant de potions magiques, elle envoûte les hommes qui croisent sa route pour qu’ils tombent amoureux. Malheureusement, il semble que son filtre d’amour ne soit pas très efficace et réserve un sort funeste à ses amants. Mention spéciale pour l’esthétique, kitsch à souhait.

 

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Le plus fucked up : Lux Æterna, de Gaspar Noé (2019)

Dans ce moyen métrage, on suit le tournage chaotique d’un film réalisé par Béatrice Dalle où des sorcières brûlent sur un bûcher. Après une scène d’ouverture où la réalisatrice et l’actrice principale (Charlotte Gainsbourg) échangent des souvenirs, on découvre l’envers du décor, qui s’annonce encore plus effrayant que le film qui est en train d’être tourné.

 

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Le plus vintage : Les Sorcières d'Eastwick, de George Miller (1987)

Dans la petite ville puritaine d’Eastwick, trois amies célibataires se retrouvent chaque semaine et discutent de leurs fantasmes sans tabou. Un soir, elles découvrent qu’elles ont le pouvoir de manifester l’homme de leurs rêves, qui débarque dans la foulée. On ne vous cache pas qu’on a envie d’essayer, who knows?

 

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Le plus teenage : Dangereuse Alliance, d’Andrew Fleming (1996)

Bonnie, Rochelle et Nancy sont des outsiders, elles s’intéressent à la magie et sont vues comme des sorcières par les autres élèves du lycée. Quand Sarah - qui a des dons surnaturels - les rejoint, elles naviguent ensemble à travers l’adolescence et l’ésotérisme. Si vous aimez les teen drama et les sorcières, celui-ci est pour vous.

 

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Le plus creepy : Suspiria, de Luca Guadagnino (2018)

Adaptée du film culte du maître de l’horreur Dario Argento, la version de Luca Guadagnino se déroule à Berlin pendant l’automne 1977. Susie Bannion, tout juste débarquée des Etats-Unis, vient passer une audition à la Markos Dance Academy. Ce qu’elle ne sait pas encore, c’est que les matrones de la prestigieuse académie pratiquent la sorcellerie. Pendant plus de deux heures, le film nous embarque dans un savant mélange de danse et de transe sanglantes.

 

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Justine Sebbag