#1 Céleste

Parce que la persévérance paye toujours

Un jeu au design ultra vintage, joli et pixélisé, où l’on suit l’héroïne Madeline, qui a pour mission de gravir le Mont Céleste.

 

Le topo semble donc simple, mais c’est un jeu difficile, où Madeline évolue étape par étape dans son ascension, meurt beaucoup, sans pour autant que ça soit frustrant, puisqu’on peut recommencer exactement au même moment.

 

Le jeu met l’accent sur le fait de s’entraîner, pour progresser peu à peu, à force de persévérance et d’encouragements de la part des autres personnages. Si bien que quand on arrive en haut de la montagne, c’est la révélation ! On a l’impression d’avoir combattu l’ennemi principal de Madeline : sa peur de l’échec.



#2 Firewatch

Parce qu’on a envie de tout plaquer

Décembre 2020 : c’est le moment de tout lâcher et de devenir garde-forestière dans les étendues sauvages du Wyoming. C’est exactement la situation qu'on peut vivre dans ce jeu vidéo initiatique, où votre mission sera de surveiller les feux de forêt (alors que vous êtes complètement novice en la matière), de comprendre les mystères de cette région sauvage, d’affronter la solitude.

 

Votre seul et unique contact sera votre boss Delilah, joignable à tout moment par talkie-walkie, que vous aurez toujours en main. Alors c’est le moment de se promener, de contempler, de faire des choix cruciaux en discutant avec Delilah, et quand même au passage de résoudre quelques énigmes.



#3 Florence

Parce que le quotidien se se retrouve aussi en jeux vidéo

Ce jeu vidéo est proche du roman graphique. On vit avec Florence son premier amour : avec ces petits moments féériques, mais aussi ces moments du quotidien, ces remises en question.

 

Le déroulé du jeu autant que le dessin est poétique, délicat, jamais niais. Pour avancer, on doit colorier, effacer, remplir, déplacer. Rien n’est compliqué, tout se joue dans l’émotion. On passe du rire aux larmes… surtout au moment où le jeu est terminé.



#4 Fez

Parce que les puzzles sont en rupture de stock depuis le premier confinement

Quand un personnage de 2D se retrouve dans de la 3D, ça donne Fez. Le personnage principal, Gomez, vivait en paix dans son village suspendu, jusqu’à ce qu’il découvre que le monde n’est pas plat. Les carrés se transforment en cube, et on va de casse-tête en casse-tête pour pouvoir rétablir l’équilibre du monde. Le jeu est évolutif, jamais ennuyeux, car la 3D ouvre toujours de nouvelles portes.



Vous en voulez plus ?

 

Two Dots : un peu addictif, mais les designs sont moins agressifs que Candy Crush

Among Us : à tous les fans du Loup-Garou, l’équivalent en jeu mobile, mais avec un casque de cosmonaute

Wheels of Aurelia : pour se promener en décapotable dans l’Italie des années 60

Skribbl : le jeu qui se joue entre apprenant·e·s et encadrant·e·s après la journée de cours chez Ada Tech School : un Pictionnary en ligne et connecté

Gris : Gris est une jeune fille avec une longue cape, qui a perdu sa voix. Ce jeu est hyper esthétique et nous pousse à contempler, le tout au son d’une musique planante

Ori and the blinded forest : un univers fantastiques dans lequel on peut se blottir et vivre plein d’aventures

Abzû : Pour les fans de plongée, ou justement pour ceux qui n’ont jamais osé se lancer. Quoi de plus relaxant que de nager près d’admirables créatures marines ?



Envie de développer votre propre jeu vidéo ?

 

C'est ce que font, entre autres, les apprenant·e·s de Ada Tech School, qui lors d’un projet de 2 semaines, ont développé leur propres jeux vidéo sur Pico 8.

Ci-dessus, le jeu d’Alice, Salma et Joanna : une chasse au trésor où l'héroïne doit résoudre des énigmes pour trouver sa voie professionnelle.

Et ici, le jeu de Nils, Francelin et Astou : un jeu de foot entre 2 joueurs qui aiment voyager.



Pour vous renseigner sur Ada Tech School, la première école de code féministe, et choper toutes les infos sur les prochaines rentrées, c'est par ici